Le Cercle des Guildes

t moi un tonneau d' absynthe

Ah non Bat90210, crois-moi, t'as vraiment pas besoin d'absynthe en plus hein

*se précipite pour l'égorger, afin d'offrir son sang au Seigneur Bismark*

Voilà
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pour moi ce sera un cerceuil svp

J'ai testé le genepi (fabrication artisanale siouplait ) preato earth, ça plombe le crane sans que l'on s'en rende compte... et après on dort nickel
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voile je l' ai effacer pour meryl je crois que c' est lui ou l' autre

Je te trouve bien skyzophrène mon cher...

Meryl se sert une coupe de ce delicieux nouveau mélange, globules rouges de bébés à l'ananas du monde 4
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monsieur on dit

Catapultes on répond
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voile je l' ai effacer pour meryl je crois que c' est lui ou l' autre

J'ai réussi à sauver un cubi de mon vieux rhum de guadeloupe.

N'ayant plus de toiture à mon palais, je devrais le garder pour me réchauffer le gosier durant les fraiches nuits à venir...

Ceci étant dit la troisième mi-temps ne doit-elle être partagée par tous ?

J'offre donc ma tournée de rhum vieux (25 ans d'âge s'il vous plait et vieilli en fût de chêne de brocéliande, respect !).

Samuel

Meryl s'approchat de Samuel...
N'essaierait-il pas de nous empoisonner ?
Elle renifla son breuvage...


Mmh.. la qualité semble être correct, je devrai lui donner une chance...

Meryl bu une gorgée quand tout à coup ses yeux devint rouge.. Elle commenca à tousser febrilement pour ensuite tomber à terre. Elle tenait son cou vigoureusement et un regard d'horreur traversait ses yeux.. Dans un semblant de regain de conscience, elle attrapa son épée et d'un mouvement brusque, l'approcha du cou de Samuel.

Elle l'arreta net avant que la lame ne fasse saigner une veine, sourit et dit à samuel :

Très bon rhum, merci et bienvenu dans notre taverne.

Meryl lui tappa sur le dos et lui proposa de gouter son breuvage.
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greeni sourit.
meryl aimait bien les scènes mélodramatiques.

souriant donc, elle s'approcha de Samuel, accepta le verre qu'il lui tendait, et le vida d'un trait.

ah ! ton breuvage est excellent ! merci à toi !

elle tendit son verre derechef afin de se faire resservir.
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oué rien de tel pour réchauffer des relations un peu refroidies...
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C'est alors, que la grosse porte en bois de la vielle taverne, s'ouvrit brusquement dans un claquement sec, des vantaux contre le mur. Le silence s'imposa, une silhouette sombre venait d'apparaitre sur le pas de la porte. Soudain un enorme éclair de foudre ballafra le ciel noir de cette nuit pluvieuse, cette soudaine luminosité fit découvrir un visage repugnant, celui de Spawn. La cape ruisselante, il marcha doucement vers Meryl, les regards convergeaient vers cette ombre menacante. Alors que Meryl avait un verre remplie à la main, Spawn lui prit fermement le bras, le breuvage tendu vers lui. Il baissa très lentement sa tête comme pour humer le parfum d'un nectar, avec les orifices brulés qui lui servait de narines. La cicatrice qui lui servait de bouche, fit apparaitre quelques dents affutés. L'assemblé retenait son souffle, de sa main gauche, Spawn sorti un briquet de la ceinture qu'il avait à la taille. Il le faisait à chaque fois qu'il tenait un ennemi par le cou, de la main droite, il l'etranglait, et de la main gauche, il sortait son briquet pour le bruler afin de le regarder calmement se tortiller de douleur, comme s'il voulait punir la terre entière de son sort. Mais cette fois ci, il mit le feu au rhum, et d'un geste vif, ingurgita l'alcool brulant du verre de Meryl. Ses yeux verts s'illuminèrent, il prit le cubi et rempli sechement le verre vide encore fumant. Delicatement, Spawn s'inclina et tendi le verre à Meryl. Il tourna les talons très rapidement et reparti sans qu'aucun son ne soit sorti de sa bouche...
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Meryl fixait le verre posé devant elle comme une provocation. Encore une fois qu'il venait la narguer d'une façon peut conventionelle. Elle regarda les clients de la taverne d'un air furieux.

Retournez donc à vos occupations ! Cessez d'attendre le deluge sur notre monde, que diable !

Le monde bien que secoué par ce qu'il venait de se passer retourna a ses affaires. L'odeur de brulure avait envahie la pièce. Meryl se sentait agréablement inconfortable, les effluves créant une athmosphère étrange chaque courant d'air rappelant ce qu'il venait de ce passer. Ses sentiments se mélaient, mais la curiosité était celle qui se faisait le plus entendre. Pourquoi toujours apparaître sans un mot, un court regard et repartir. Qul était son but ? Etait-il un allié ? un ennemi ? Quand allait-elle le rencontrer une nouvelle fois ? Les questions se mélaient dans son esprit et résonnaient avec les sons buyants que la taverne renfermait.

Elle décida de se renseigner discrètement auprès du tavernier pour mettre un nom sur ce visage qu'elle ne pouvait oublier. Elle se sentait même impatiente de pouvoir prendre le contrôle d'une nouvelle rencontre.

Le tavernier était un homme corpulent, connu pour ses frasques avec les paysannes du coin. Son nez était imposant et soulignait un visage marqué par les différentes cicatrices. Il était connu pour avoir imposer ses propres règles dans l'enceinte de son petit royaume qu'était la taverne. Aucun combat ne pouvait y avoir lieu. Beaucoup de grands guerriers aujourd'hui défunts venaient déployer leur stratégie diplomatique devant ses boissons. Il savait tout de même que sa tête pouvait être jouée à tout moment, ne comptant que sur la confiance qu'il savait accorder pour sauver sa vie. Têtu, il connaissait les méfaits que pourrait créer une bouche trop bavarde. Meryl expliqua clairement ces intentions vis à vis de cet étrange personnage.

Finalement, le tavernier, après avoir entrevu une lame le long de ce manteau flamboyant lui ayant couté 2500 litres de cervoise, se décida à lui parler.. Meryl bien que dégoutée par l'odeur de canneberge qui s'évaporait lentement hors de la bouche du tavernier s'approcha de lui. Le tavernier murmura des paroles...
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On m'a rapporté que ce personnage était autrefois un guerrier sanguinaire, tuant même femmes et enfants, contre des pièces d'or. La seule chose auquel il croyait était l'or, toujours l'or, toujours plus d'or. Son principal employeur était un seigneur assoiffé de pouvoir, ne rechignant sur aucune basse besogne pour agrandir son territoire. Son dernier contrat, celui que l'on nomme Spawn, bien qu'il ne sachait pas alors que cela allait être son dernier, était d'exterminer une famille vivant dans la fermette sur la colline surplombant le royaume du sombre seigneur. Cette petite demeure, bien humble, agacait ce maudit prince par sa seule presence. La bourse de 500 pièces d'or était à Spawn, s'il décapitait les occupants et brulait la fermette. La vue de cette bourse suffisait à motiver le mercenaire. Comme à son habitude, il glissait son épée longue à deux mains dans son fourreau, fermait les yeux pour enfiler son heaume puis partait à pieds dans les nuits sans lune. Il aimait arriver sans bruits, pour surprendre, car il ne pouvait savoir à quelle résistance il allait être opposé. Cette nuit là, arrivant à la fermette, il se plaqua dos aux murs fragiles, de la batisse, dégaina sa fidèle arme, leva les bras prêt à frapper. Il glissa furtivement le long de la construction pour arriver à l'entrée. D'habitude il donnait un coup de botte violent sur la porte pour entrer rapidement et frapper du tranchant de son arme toutes les chairs qu'il pouvait atteindre. Mais cette fois là, la porte était grande ouverte, quelques bougies éclairaient l'intérieur de la fermette qui se résumait à une simple pièce. Sur le grand lit était étendu un corps inerte, et une personne agenouillée sur le sol en terre lui tournait le dos. Alors qu'il rentra rapidement pour trancher la tête de ce personnage, ce dernier se retourna. Ce fut le moment ou sa vie bascula;
Un groupe d'hommes s'approcha du bar, le tarvernier retourna à son service, en nettoyant le comptoir miteux d'un chiffon noirci. Ses gloussements faisait osciller sa bedaine et laissaient entrevoir ses dents jaunies. Meryl le suivait du regard, bien décidée à en savoir plus...
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Cette sombre histoire intrigua le seigneur Samuel, qui ayant déjà beaucoup trop bu se leva d'un bond. Il brandissait d'une main une cuisse de poulet à moitié déchiquetée et de l'autre une gourde de sa cuvée spéciale qu'il venait de retrouver dans son sac de voyage. A la vue de sa bouteille, son bonheur fut intense qu'il voulu immédiatement partager sa joie avec les seigneurs spawn et Meryl. Honorable pensée me diriez vous.

Pour son grand malheur son sens de l'équilibre, à cette heure tardive, n'entrait plus en connection avec son cerveau imbibé. A cause d'une vision quelque peu trouble et d'une mauvaise estimation des distances, il se prit les pieds dans une fourrure posée sur le sol. Il tenta de reprendre appuit sur la table avec sa main droite qui malheureusement ne voulait lacher la cuisse de poulet qu'elle tenait. Il senti alors son énorme masse l'entrainée vers le sol. Dans un sursaut d'orgueil il réussit à se redresser par un petit pas de danse dont lui seul avait le secret. Cet effet de style provoqua l'admiration de tous, tant il semblait naturel et délicat.

Ce que le public en revanche ne compris pas dans la chorégraphie qui suivit, c'est pourquoi il voulut enchaîner par trois pas chassés. Sans doute pour finir en beauté auprès de la belle Meryl. Mais, maladroitement exécuté, le troisième lui fit définitivement comprendre qu'il allait s'écraser les dents sur le comptoir. Un vacarme énorme retenti alors dans l'auberge et une épaisse poussière envahit le comptoir. Lorsqu'elle se dissipa, Le Seigneur Samuel se releva la bouche en sang. Deux de ses canines étaient restées dans le bois du comptoir. Encore tout grogui il rompit en petits morceaux l'os de sa cuisse de poulet et s'en enfonca 2 petits éclats dans la gencive pour remplacer ses canines perduent. Comme si rien ne s'était produit il leva sa gourde, balbutia un patois imcompréhensible puis s'écroula ivre mort au pied de ses hôtes.

Nous remercions encore les seigneurs EDF qui ont bien voulu le remettre sur son cheval. La brave bête connaissant parfaitement la route, nous l'a ramené ce matin même. . .

Du haut de son tabouret, soigneusement camouflée par sa cape sombre, vamp écouta le récit extravagant d'une oreille attentive. Lorsque le tavernier reprit enfin sa besogne, elle déposa délicatement son verre vide sur le comptoir crasseux, sauta de son siège et se dirigea vers le groupe d'hommes.

- Pauvres âmes, s'exclama-t-elle, un sourire moqueur aux lèvres. Croire à de telles ignominies ! Ce vil Spawn a toujours aimé répandre des histoires abracadrabrantes sur son compte... Il se nourrit de l'admiration des plus faibles ! Oh, certes, il est expérimenté... Mais n'est pas très modeste !

Les rires explosèrent. Il n'était pas rare, en ce lieu, que les contes dépassent la réalité. vamp se délecta de l'attention qu'on lui portait maintenant, et ne put s'empêcher d'éprouver quelque malice à l'idée que son vieux collègue d'armes puisse devenir fou de rage lorsqu'il aurait vent de son intervention. Elle s'imaginait déjà, du haut de son étalon, être témoin d'une scène des plus spectaculaires mettant en vedette ce cher Spawn, d'une teinte frisant le rouge écrevisse, l'épée volant dans tous les sens, les paroles virulentes coulant de sa bouche... Elle savait déjà que cela ne durerait à peine que quelques minutes, et que son fidèle serviteur n'aurait qu'à poser sa lourde main sur son pommeau d'épée pour que la fureur de Spawn soit retombée. Ils entreraient ensuite dans la taverne, et vamp lui paierait un verre bien mérité, tout en se moquant de sa fierté outrecuidante.

Une main hésitante posée sur son épaule la tira brusquement de sa rêverie. Elle constata avec ennui que tous les regards étaient encore tournés vers elle. Elle n'eut qu'à lever le doigt pour que son fidèle serviteur tranche le bras du triste personnage qui avait osé la souiller. Des cris fusèrent parmi la clientèle : des femmes se précipitaient vers la sortie, affolées par une telle démonstration de violence. Les hommes, tant qu'à eux, ainsi que le tavernier, la fixaient avec horreur. Nul n'osa bouger. La victime, pour sa part, s'affala sur le sol poussiéreux, évanoui.

- Qu'on évacue ce malheureux !, enchaina vamp d'une voix malheureuse. Comme il est regrettable qu'un accident dû avoir lieu... Allez, je vous offre donc à tous, mes seigneurs, de quoi boire ! Tavernier !, tonna-t-elle au pauvre homme qui ne bougea qu'après s'être ressaisi.

Pendant qu'on servait la cervoise à l'assistance, vamp se retourna et observa les rares personnes qui restaient. Elle eut tôt fait de repérer un individu fort louche, qui tentait péniblement de s'avancer vers le groupe. Ses vêtements couverts de boue et sans doute d'autres matières douteuses dégageaient une puanteur digne des plus grands égoûts. Elle fronça le sourcil. Qui était-il donc, et que voulait-il ? Plus il avançait dans la clarté du jour, plus vamp constatait avec surprise que ses horribles vêtements, bien que dégoûtants à souhait, avaient néanmoins été taillés dans les tissus les plus riches et les plus fins de ce jour. Sa curiosité l'assaillit avec force : s'agissait-il d'un ennemi ?

Tout à coup, le pauvre homme sembla perdre toute équilibre. Habile, il réussit toutefois à se tenir debout. Ses mouvements étaient ridicules, ses pas mal calculés... vamp en déduisit qu'il n'était rien d'autre qu'un seigneur bien bourré. Elle roula des yeux et se détourna vers son audience. Le tavernier, prenant son courage à deux mains, émit d'une voix tonitruante :

- Mais qui es-tu exactement, Dame ? D'où viens-tu, quel est ton but ?

vamp sourit tendrement, puis soupira. Elle baissa la tête. Ils étaient donc si ignorants.

- On m'appelle Vamp la Rouge. Je suis dans ce monde pour refaire ma vie, dans le plus grand calme et la plus grande paix, car hélas, ma vie ne fut pas toujours des plus reposantes...

Les hommes étaient pendus à ses lèvres. Elle reconnut quelques éclairs de reconnaissance dans les yeux des plus âgés. Aurait-elle à leur raconter ? Un bruit attira son attention. Le sale seigneur était tombé, ivre mort. Mais oui, le voilà donc, c'est ce pauvre Samuel terni par une défaite des plus cuisantes ! Elle éclata de rire et ordonna à son fidèle serviteur de le jeter dehors.

Fatiguée, elle se leva. Remettant la cape sur ses cheveux flamboyants, elle termina :

- Si vous êtes malins, vous saurez chercher la vérité. Mes seigneurs, salua-t-elle d'un mouvement de la tête.
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Meryl décida de s'arrêter à la taverne quelques instants avant de retourner à son village.

Qu'elle ne fut pas sa surprise de voir que vamp la rouge avait signé de sa marque ce lieu. Les bras coupés gisant sur le comptoir et le nouveau tavernier, encore tremblotant, lui raconta en détails ce qu’il venait de s’y dérouler. Elle avait encore frappé. Toujours à ne voir ses adversaires que comme de modestes hommes qui finiraient tranchés. Elle avait détaillé les rumeurs concernant Spawn et avait offert la mort comme guise d'offrande à une chef de guerre encore méconnue qui fétait parait-il son anniversaire. Quel drôle de coutume pensa-t-elle.

Meryl après un dernier verre repartit vers son village, son esprit ne pouvait cesser de penser.
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bonsoir, et pour moi ca sera une super 64 santé, les hommes savent pourquoi
que la force soit avec nous bye