Meryl revint d'une longue journée éreintée par des échanges commerciaux difficile. Les ressources du monde devenaient difficiles à apprivoiser et les trocs se terminaient par des pillages ensanglantés. ll fallait commencer à penser à nettoyer nos silos et nos dépots, le sang se mélant aux nouvelles ressources conquises. « Les hommes retournent finalement à la terre, ce n'est pas que des croyances de villageois », pensait-elle, en voyant ses serviteurs se haté de stocker les richesse pour ne plus avoir à regarder un spectacle si désolant. Des visages, et certains autres parties du corps que l'on ne pouvait plus definir était ramenées au village. Mais, fallait-il vraiment prendre le temps de trier les méfaits réalisés de nos magnifiques sources de vie ? Les paysans doivent connaitre le sort que s'attire les non-coopérants. La peur devient dans le monde le moteur de l'économie. Les mains du villages sauront la prochaine fois produirent plus. Mais le vent se met à souffler et les corbeaux nous rappelent que la face du monde change aujourd'hui.
Après être descendue de son cheval, avoir récuperer les nourrissons pour ne pas que les paysans en prennnent pitié, et les avoir entreposés dans de magnifiques berceau recouverts de peau de licornes, Meryl s'approcha de sa connexion internet. Il semblait s'en être passé des belles lors de son long départ.
Genova a écrit :Ha ha ha cette petite meryl me plait bien. Généralement quand je n'obtiens pas ce que je veux par gré, je l'ai
par la force. Peut être quelques chefs de guerre sauraient ils convaincre cette donzelle d'être mienne ?
Genova, je te trouve bien sûr de toi. N'as tu pas appris lors des combats de la vie sans gourdins ni cavaliers que le coeur d'une femme est une chose difficile à atteindre ? Un seigneur ne prefere-t-il pas gagner des faveurs grace à sa maitrise d'une parole touchante et vertueuse? Le monde a beau être ce qu'il est, le soleil rougit à chaque jour, Ne sais-tu pas que le sang versé nous éloigne tous de plus en plus. Nos voisins sont nos ennemis et nos amis deviennnent des traitres. N'est il donc pas plus courageux d'ouvrir son coeur, comme la diplomatie sait si bien prendre place en cette période trouble, pour conquerir une femme ? A force d'user de violence, nous perdons tous la reelle valeur de ce que nous sommes.
Le courage ne réside plus dans notre monde a de simples guerres mais au fait de savoir user de sa propre personne pour avoir ce que l'on convoite. Un veritable combat aujourd'hui se gagne par la parole et non pas les armes. Est-il plus difficile de conquerir un village que de conquerir une femme ?
Non, c'est pour cela que la force ne représente aucune réussite si tu compte l'utiliser pour gagner mon coeur.
Bismark a écrit :Quand a Meryl, il faudra me passer sur le corps pour pouvoir daigner en profiter. Non mais, le seigneur de la luxure se doit de protéger ses brebis. Surtout quand l'assaillant n'est pas plus beau qu'un bouc
Aucun de vous n'a pour l'instant ce qu'il faut pour conquerir mon coeur. Cessez de vous conduire comme des enfants, et soyez les barbares matures que vous dites être. Comprenez que vous aurez beau violer, tuer, amener des chefs de guerre et faire souffrir nos compagnes, comme je l'ai moi même fait, vos brebis ne vous appartiendront reellement jamais si vous n'avez pas leurs coeurs.
Meryl decida de couper quelques tetes des villageois voisins pour méditer un peu...
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